Quand la foule a fui le FOMO

Je n’aurais jamais écrit ceci pour la foule.

Le silence entre les chiffres. Le 8 mai, le conseil de Figma approuva 30M \(USDC—pas comme couverture, mais comme ancre. Pas de spéculations. Un sanctuaire. Dans une pièce baignée de l'éclat des écrans, où les traders passent devant les courbes comme des fantômes, j'ai vu ce que nul autre n'a fait : ils ont confondu la volatilité avec du sens. La valorisation de 125M \)n’était pas un nombre—c’était un miroir tendu à notre anxiété collective.

L’algorithme qui écoutait. Ma mère m’a appris : « Les chiffres ne parlent que si tu t’inclines. » Alors j’ai codé mon doute dans des modèles Python qui suivent les rythmes émotionnels—comment la panique monte quand la liquidité s’éteint. Le BITB ETF de Figma n’a pas augmenté par la demande ; il s’est stabilisé parce que nous avons choisi de le ressentir en premier.

Le rituel du silence. Ils l’appelaient « IPO ». Moi, je l’appelais une élégie. À 3h du mardi dans Chinatown à Chicago—où mon père évaluait les obligations comme poésie—I j’ai regardé une investisseuse fermer son laptop et chuchoter : « Est-ce réel ? » Personne n’a répondu. Mais la chaîne l’a fait. Chaque nœud a murmuré sa vérité en silence.